Harless Van Krees
Harless Van Krees, est né en -43 sur Mandalore. N’est à l’heure actuel plus trouvable et présumé mort.
Son histoire :
Né sur Mandalore, en -43 av. T.C. élevé comme beaucoup parmi les siens, promis à devenir un chasseur de primes au mieux, un combattant aguerri au pire. Son attitude féroce allié à sa malice dans le stress de l’action le conduisit à devenir parmi les meilleurs de sa génération. Au fur et à mesure de son élévation au sein de la culture mandalore, il s’engouffra dans le monde des chasseurs de primes, avec de multiples contrats et d’innombrables crédits versés sur ses comptes. Beaucoup de batailles aussi, lorsqu’il n’était pas engagé par un particulier. Et à aucun moment il ne se vit diminué ni usé par les combats. En -15 av TC, quelque peu dépité par la mort de plusieurs des siens, il revint sur son monde natal pour devenir instructeur.
Son œuvre et Ballantine :
Pour entraîner et façonner des jeunes à son image d’increvable. Son ambition, comme il n’a eut de cesse de le répéter depuis, était de transformer un simple Mandalore en une armée d’un seul. Ils deviendraient des machines de survie et combat ou ne parviendraient pas à la fin de l’instruction. C’est là que sa renommée se fit réellement : par son attitude stricte, rude et violente et disciplinaire avec laquelle il menait ses volontaires. Car il fallait être volontaire pour être avec Harless.
Aussi, en -5 av TC, il fut payé grassement pour faire l’éducation d’une jeune humaine : Joanne Banefield. Jusqu’à présent, il n’avait jamais entraîné que des mâles, jugeant l’autre sexe d’inadapté pour la vie de combat. Il accepta malgré tout, la somme versée y aidant. Il la traita comme n’importe quel élève, voir même plus durement.
Sa suite :Comme effet à cela, dix ans plus tard, la jeune femme quitta avec les honneurs la promotion. A la suite, Harless Van Kress quitta son statut d’instructeur, trop inactif à son goût. Il disparu quelques mois plus tard de tout scanner. Maintenant présumé mort, il arrive toujours cependant que quelques crédits viennent gonfler ses comptes.
Les histoires vont comme avant, bon train sur ce personnage aussi charismatique, meneur et drogué de combat, comme celle de s’être lui-même infligés des sévices et balafres pour effrayer l’ennemi. Son nom est synonyme de sauvagerie, de violence mais aussi de respect, quand bien même il n’a plus fait surface depuis si longtemps.