(Je vais prendre le temps d'écrire cela petit à petit (et de le remodifier un peu au besoin), si vous avez des commentaires n'hésitez pas à m'en faire part en MP, et j'assume pleinement la nique faite aux trekies dans cette première partie
)
Quelque part dans une
galaxie lointaine, très lointaine…STAR WARS
Episode XX : Destin détourné
La guerre fait rage dans la galaxie.
L’Empire et la République s’essoufflent
dans un conflit qui semble ne pas
vouloir trouver de fin.
Seuls quelques systèmes périphériques
semblent encore épargnés, offrant ainsi
d’autres routes de fuites pour les
victimes des attaques massives siths.
L’Empereur, bien conscient que la guerre
s’enlise, a cependant ordonné que toutes
les lignes de ravitaillement soient
coupées dans les systèmes éloignés,
menant une politique de terreur pour
soutenir les assauts de ses troupes…
* * *
Perdu au milieu d’une zone quasi déserte non loin de la Bordure Extérieure, le système Soresh était relativement peu connu et rarement emprunté par les routes stellaires commerciales. La seule planète habitable, Soresh III, orbitant autours d’un soleil rouge, était devenue une sorte de décharge, de cimetière pour vaisseaux spatiaux, plus fréquemment fréquentée par divers charognards et récupérateurs que par les citoyens lambdas de la République. Un système calme… En général…
Une nouvelle secousse fit trembler la passerelle, projetant l’officier en second, dont la tête vint heurter l’une des consoles dont les voyants clignotaient de manière inquiétante. Du sang s’écoulait du visage du malheureux, rien de grave en apparence, mais le choc lui avait fait perdre connaissance, comme l’avait constaté l’officier de transmission aux pieds duquel le blessé s’était écroulé.
-
Commandant ! Nous n’avons plus de bouclier sur l’arrière ! s’écria alors la jeune femme qui s’occupait des systèmes de défense.
S’ils visent juste au prochain passage, on ne pourra pas passer en hyperespace !Comme pour illustrer ses propos, les deux chasseurs siths qui les avaient pris par surprise venaient d’apparaitre au travers de la grande baie vitrée de la passerelle de commandement. Le « Nebula » était une vieille corvette désaffectée de la République, pas un vaisseau de combat, et le Commandant savait qu’il leur faudrait encore un peu de temps avant de pouvoir relancer les hyperpropulseurs, le temps que les calculs d’astrogation soient terminés.
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Orientez la majeure partie de la puissance des déflecteurs sur l’arrière ! lança-t-il aussitôt.
Scotty ? Combien de temps ?-
Deux minutes Commandant ! lacha le pilote en pianotant sur sa console.
Et nos communications sont brouillées !Trop long pensa-t-il. Déjà les chasseurs, bien plus maniables, faisaient demi-tour devant le nez de l’appareil, s’apprêtant à un nouvel assaut. Dans les soutes, des dizaines de passagers s’accrochaient comme ils pouvaient, parmi les cris et les pleurs. Des réfugiés pour la plupart, qui avaient déjà eu leur lot de peine et de malheur.